Bilan des 100 000km d’un sidecar Ural (2/2)

Le cap fatidique des 100 000 bornes étant passé, nous nous plions à l’exercice du bilan à la loupe. L’objectif ? Tordre le cou aux rumeurs et surtout partager notre retour d’expérience. Dans un premier article, nous revenons en détails sur tous les pépins que nous avons rencontré. Petite précision : nous n’avons pas d’action chez la marque Ural, aucun tabou donc.

Dans ce 2nd article, nous entreprenons de savants calculs mathématiques pour déterminer le coût kilométrique d’un sidecar Ural. Prix d’achat (seconde main), pièces détachées, galères mécaniques, entretien, assurance, conso d’essence : tout y passe !

Nous en profitons aussi pour revenir sur les bonnes surprises que nous a réservé l’Ural. Comme par exemple ? Sa surprenante robustesse au vu de ce qu’on lui a mis dans la tronche, ses capacités à fonctionner en altitude malgré les carburateurs ainsi que l’étonnante efficacité du refroidissement à air. Et oui, on craignait de surchauffer à chaque grimpette. Du côté des surprises un peu moins bonnes ? Ça se passe au niveau de l’embrayage où le cochonium est roi et puis sur la carrosserie avec son extraordinaire capacité à rouiller de peur. Satanée tôle feuilletée !

Au passage, nous livrons notre avis sur le système deux roues motrices. Le 2WD est il vraiment utile sur un sidecar Ural ? Est-ce indispensable pour faire du tout-terrain ? Bon… si on te dit que l’on a craboté une dizaine de fois en 100 000 bornes, ça te mettra sur la piste.

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