Bilan des 100 000km d’un sidecar Ural (1/2)

Le sidecar Ural est légendaire à plusieurs titres. Pour son histoire mouvementée, ses apparitions télévisuelles et aussi pour sa fiabilité réputée douteuse. Mais alors qu’en est-il exactement ? Faut-il refaire le moteur à chaque sortie ? Notre trois-pattes venant de passer le cap des 100 000 bornes, il est temps de faire un bilan exhaustif. Les on-dit à l’épreuve des faits.

Alors oui, chaque Ural est unique, chaque millésime a ses particularités. Ainsi, il serait bien pompeux de généraliser notre retour d’expérience à tous les trois pattes . Certes, mais ça donne toujours une idée, non ?

Et puis, il faut dire que nous l’avons un peu maltraité notre petit Gobi à crapahuter dans les pistes avec un poids en charge frôlant les 650 kilos. Alors, qui peut le plus peut le moins. Au programme donc de cet article ? Un rappel de notre usage assez particulier de l’Ural comme bête de somme, un retour sur l’entretien qu’on lui porte et une liste exhaustive de tous les pépins que nous avons rencontrés.

L’objectif de cet article n’est pas d’essayer de décerner à l’Ural la palme de la moto la plus fiable, mais bien de partager notre vécu. Libre à toi, lecteur, d’en dresser les conclusions. Peut-être cela te fera peur, te dissuadera même d’opter pour ce merveilleux trois-pattes, ou bien tu te diras « ah, mais c’est beaucoup moins pire que ce que j’imaginais ! ». A toi de juger. Bonne lecture.

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