Découverte du Kazakhstan – Voyage en side-car Ural par Uralistan

Des grands espaces, des chameaux et des bivouacs de folie, voilà comment résumer nos premiers kilomètres au Kazakhstan. Le plus étonnant ? Gobi, notre Ural, a une côte incroyable. Chaque pause café est l’occasion de faire des rencontres, prendre des selfies et discuter avec les locaux. On adore !

Souvent, le passage de frontière annonce la couleur pour la suite du voyage. Le Kazakhstan ne déroge pas à la règle. On y rencontre un douanier super sympa qui prend le temps de nous enseigner le vocabulaire de survie en kazakh. Génial. La suite ? Notre première rencontre avec des chameaux ainsi qu’avec les pistes/routes locales. De la frontière jusqu’à Atyraou, nous alternons entre sentiers caillasseux, asphalte tout neuf et chemins parallèles recouverts de sable. Heureusement, pour nous, le reste de ces « nationales » a été rénové. Ouf.

Accessoirement, Gobi continue sa série de caprices. Le premier ? Un anti-parasite gorgé d’eau empêchant l’étincelle de se faire à la bougie. Tourner sur un cylindre, ça va un moment… Le deuxième : début d’incendie dans les spaghettis derrière le phare. Voir de la fumée sortir de l’avant de la bécane nous a valu une belle frayeur. Plus de peur que de mal. Le Kazakhstan, c’est aussi pour nous le pays rêvé pour bivouaquer. Pourquoi ? Les sites géniaux ne manquent pas. Et surtout, les locaux sont super avenants. Les bergers du coin viennent s’assurer que tout va bien pour nous, qu’on n’a pas froid et ils nous guident même jusqu’à des lieux superbes pour camper. Que demander de plus ?

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