Notre Ural Ranger de 2011 a passé le contrôle technique !

Après moult années de tergiversations, ce qui devait arriver arriva : le contrôle technique moto est instauré. Et malheureusement, nos valeureux 3 pattes doivent eux aussi y passer. Comment ça se passe ? Quels sont les points de contrôle ? Est-ce vraiment tatillon ? Nous te racontons notre expérience. Et oui, notre Gobi vient d’obtenir le précieux sésame haut la jante !

Déjà, ce qui nous surprend, c’est l’accueil chaleureux que l’on reçoit. En plus, le contrôleur Autosûr est lui-même motard ! Il prend le temps d’échanger avec nous et de nous expliquer les différents points de contrôle. Ce que nous comprenons rapidement ? L’objectif n’est pas de chercher la petite bête, ni de traquer les bécanes archi-modifiées, mais bien de s’assurer que la meule est bien entretenue et sécurisante. Suspensions, dispositifs de freinage, direction, transmission, éclairage, pneumatiques : les points de contrôle sont nombreux mais la vérification est uniquement visuelle. Aucun démontage n’est réalisé. C’est d’ailleurs un peu ce qui nous étonne. Pourquoi ? Eh bien, si tes trois freins sont à tambour, on ne peut pas vérifier leur état.

Nous profitons de la bienveillance de l’agent Autosûr pour évoquer les évolutions à venir. Force est de constater que ça va se durcir. Banc de puissance, réglage de l’éclairage, sonomètre : le contrôle technique va se compliquer d’année en année.

De notre côté ? C’est l’heure d’arroser comme il se doit le contrôle technique approuvé de notre Gobi. Nous sommes dans les clous pour 3 ans. Hip, hip, hip, Ural !

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